DISPARITION DUNE GRANDE DAME
Ce dimanche 17 avril, à Rome, la célèbre maoïste italienne Maria-Antonietta Macciocchi est décédée, à l’âge de 84 ans.
Militante communiste puis députée européenne du Parti Radical Italien, elle s’était fait connaître, entre autres ouvrages, par son célèbre livre intitulé De
Nous garderons le souvenir d’une femme courageuse, communiste authentique, féministe de coeur (dans le sens noble), qui avait tenté de réhabiliter
Comme ultime souvenir, permettez-moi de citer quelques mots extraits de son livre dans lequel elle rend hommage à la beauté de la femme chinoise :
« La femme chinoise est donc presque toujours belle : chez elle, en effet, le style réside dans une manière d’être, une inspiration, une tension intérieure, une façon d’être, humaine et fragile, qui la rend belle, parfois très belle. Ce style, ce sont souvent aussi ses mains, impeccablement fuselées. Et l’on comprend mal que des mains si fines et menues, loin de s’abîmer, puissent être toujours soignées et conserver leur élégance. Pour juger une femme chinoise, il faut donc moins recourir aux critères habituels qu’à l’intuition. On les trouvera alors très belles, dans ce perpétuel mouvement intérieur qui les conduit à adhérer aux idées nouvelles, à s’y frayer une voie, à y créer leur propre modèle. »
De
Maria-Antonietta Macciocchi sur le blog :
- Ils ne Sont pas comme nous – Shanghai et le Fléau Colonial